- Ma maison naturelle
- Je nage dans les senteurs
- Je baigne dans la lumière du jour
- Maison nette pour la planète
- Entre les murs
- Tuyaux écolo
- Pas de ça chez moi
- J’aménage
- Du naturel en veux-tu, en voilà
- Le bois super star
- Les matériaux écolo qui montent, qui montent
- Peintures, on les aime sans solvants
- Comment trouver les artisans ?
- J’économise
- J’adopte les ampoules basse consommation
- Leurs inconvénients ?
- Je fais la chasse aux veilles
- Je choisis un fournisseur d’électricité verte
- Je choisis des appareils peu gourmands en énergie
- Je respire
- Des polluants dans ma maison ?
- Mille et un gestes quotidiens
- Les plantes dépolluantes
- Des huiles essentielles pour assainir la maison
- La chasse aux acariens
- L’humidité et l’art du juste milieu
- Je décore
- Je choisis des tissus écologiques
- Pour mes meubles, je boycotte le bois illégal
- Je me tourne vers les éco-designers
- Je deviens un pro de la récup’
- Je privilégie la décoration équitable
- Je brique
- Ça ne donne pas envie
- Dans les produits écolo
- Retour aux basiques
- Les trucs de grand-mère
- Les lessives alternatives
- Je cocoone
- Je chasse les mauvaises ondes
- Je suis les règles du Feng Shui
Entre les murs
Agir sur le bâtiment, c’est aussi revoir son comportement entre les murs où l’on passe plus des trois quarts de son existence. Depuis les révélations de l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur il y a une poignée d’années, on sait désormais que tout ce qui s’en dégage n’est pas forcément bon à respirer.
Entre la commode du salon, la moquette de la chambre à coucher et les produits pour récurer les éviers, notre maison ressemble davantage à un « home, sweet home » empoisonné qu’à un élixir de santé. Alors on a envie de passer à l’action, de s’aménager un cocon tout doux pour la planète et pour soi. Et on n’est pas les seuls. La demande est on ne peut plus forte dans tous les domaines de la maison écolo – que ce soit pour installer des panneaux solaires sur son toit ou repeindre la chambre des enfants sans s’intoxiquer. Le problème est que, pour l’instant, l’offre ne suit pas toujours.
Les artisans compétents en matière de photovoltaïque ou de peinture sans polluant ne sont pas pléthore. Et la formation s’organise lentement.