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    Sommaire

    Les plantes dépolluantes

    Bill Wolverton a mené des recherches à la Nasa, dans les années 70, sur la façon de rendre respirable l’atmosphère confinée des navettes spatiales… S’il avait su qu’il déclencherait aujourd’hui une vraie vague verte dans nos maisons ! Le chercheur américain a découvert alors que les plantes pouvaient nous débarrasser de substances toxiques et notamment des COV. En France aujourd’hui, l’association Plant’Air pur se charge de faire passer le message (www.plantairpur.fr). Elle nous explique qu’« il ne s’agit pas là d’une simple absorption, mais d’un véritable traitement réalisé par presque toutes les plantes ». Pour faire simple : les polluants sont absorbés par les feuilles ou par les racines. Dans ces dernières, des micro-organismes les convertissent en produits organiques qui nourrissent les végétaux.
    Si toutes sont utiles, chacune des plantes a une fonction bien particulière. Alors on installe :
    Un chlorophytum dans une pièce avec cheminée. Parce que cette « plante araignée » absorbe 96 % du monoxyde de carbone en 24 heures. Elle élimine aussi le formaldéhyde, le toluène, le benzène et le xylène.
    Un arum grimpant dans une pièce où l’on a fait des travaux. Parce qu’il est particulièrement efficace pour venir à bout du formaldéhyde, du toluène et du monoxyde de carbone.
    Un dracéna marginé dans une chambre où vous rangez les vêtements de retour du pressing. Parce qu’il sait se débarrasser du trichloréthylène. Efficace aussi dans les pièces enfumées.
    Un lis de la paix partout. Il est super fort pour traiter les COV.
    Enfin, puisque vous nous posez la question : oui, on peut dormir sans problème avec ses plantes vertes. La quantité de CO2 qu’elles rejettent la nuit est infime.

    À lire
    Plantes dépolluantes pour la maison, de Marc Grollimund et Isabelle Hannebicque, Éd. Ulmer.

    Purificateurs d’air
    La technologie s’en mêle. Voilà 3 solutions innovantes pour purifier l’air :
    • Les purificateurs à filtres HEPA (Haute efficacité pour les particules aériennes). Ils retiennent impuretés, bactéries et particules supérieures à 0,3 micromètres. Inconvénient : il faut changer régulièrement le filtre et ils sont moins efficaces sur les COV et les gaz.
    • Les systèmes fonctionnant à la chaleur. L’air s’engouffre dans une chambre à 200 °C où les pollens, micro-organismes et poussières sont détruits. Efficaces pour lutter contre les problèmes respiratoires.
    • Les systèmes photocatalytiques.
    Ils contiennent du dioxyde de titane qui, au contact de la lumière, dégrade les polluants et les transforme en oxygène, CO2, eau et azote (en faible quantité). Très efficaces sur un grand nombre de polluants.

    Les principales sources de polluants


    Source

    Polluants

    L’air extérieur

    Monoxyde de carbone, oxydes d’azote, particules et certains composés organiques volatils (COV)

    Les produits de construction, d’ameublement, de décoration, d’entretien et de bricolage

    La plupart des COV (y compris les aldéhydes) et les particules

    Les appareils à combustion (chauffage, production d’eau chaude)

    Monoxyde de carbone, oxydes d’azote, particules, certains COV

    Les plantes et les animaux

    Pollens, allergènes de chat, de chien et d’acariens

    Les activités humaines (tabagisme, activités de cuisine ou d’entretien, bureautique…)

    Particules, monoxyde de carbone, COV et aldéhydes…

    Source : Observatoire de l’air intérieur