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- Bien-être au naturel
- Vivre et se soigner avec les plantes
- Une cosmétique bio à deux vitesses
- Plusieurs visages, différents usages
- Maladie des villes
- Les huiles du plaisir
- Le bio, la réponse santé
- Des plantes à boire et à croquer
- Cosmétique bio versus cosmétique industrielle
- Alimentation et industrie, les sœurs ennemies ?
- Chacun sa voie
- Des techniques ancestrales faites pour nous
- Du végétal à la verticale
- Un secteur qui fait boom
- Soyons terre à terre
- Rester connecté à la nature
- Retour au végétal
- Et dans tous les recoins
- Phytothérapie et équilibre alimentaire
- Retour aux ingrédients de base
- Les compléments alimentaires, est-ce toujours nécessaire ?
- L’aromathérapie
- Leçons d’aromathérapie
- Les super pouvoirs des huiles essentielles
- Des preuves, toujours des preuves
- Cosmétique bio
- Deux philosophies qui s’opposent
- Les ingrédients décriés
- Les ingrédients d’un cosmétique bio
- Le retour aux basiques : huiles végétales, eaux florales, huiles essentielles
- Les massages
- Les massages, une histoire de corps
- Quel massage pour votre plumage ?
- Quelles pratiques pour qui ?
Et dans tous les recoins
Pour nous faire du bien, le végétal peut aussi envahir la ville sous des allures plus désordonnées. Partout, sur des friches abandonnées, entre deux immeubles ou en bas des tours, des communautés d’habitants ont créé des jardins partagés, pleins de poésie et prétextes à de belles rencontres. Dans certains cas, l’invasion herbacée peut même prendre des allures d’opération commando. Quand des groupes d’individus masqués débarquent en pleine nuit, avec une pelle dans une main et une pousse de fleur dans l’autre, pour planter de vert un bout de trottoir, le contour d’un arbre ou un rond-point à l’abandon. Chez les Anglo-Saxons, on appelle ça Guerilla gardening. Traduisez la « rébellion jardinière ». L’arme fatale de ces militants d’un nouveau genre ? Une seeds bomb, « bombe de graines », qu’on fabrique en malaxant une pincée de grains avec une petite poignée de compost jusqu’à former une boulette. À garder toujours en poche, pour jeter absolument n’importe où dans la ville. Sur ce site en anglais, www.guerrillagardening.org, vous apprendrez par ailleurs comment planter des pieds de lavande au milieu du bitume londonien et récolter un an et demi plus tard les fleurs pour préparer des sachets odorants. Il faut au moins ça pour rester zen en ville.
Les enfants dans la nature
Élever les enfants en accord avec la nature, c’est l’objectif de l’école suivant la méthode Montessori fondée par la fille de Pierre Rabhi, en Ardèche. Au programme de la Ferme des enfants : éducation à la vie, à la paix, et même
à l’écologie. www.la-ferme-des-enfants.comPour un retour aux sources : les écovillages
Il y en a de toutes sortes. Des babacools dignes héritiers des communautés fondées dans les années 70, des pragmatiques nouvelle vague, qui mettent en avant un mode de vie durable et respectueux de l’environnement…
Leur point commun ? « Ils réunissent deux profondes vérités :
• La vie humaine s’épanouit mieux au sein de petites et saines communautés apportant un soutien à chacun.
• Le seul chemin soutenable pour l’humanité est celui de la redécouverte et de l’amélioration d’une vie communautaire traditionnelle. » (Selon Robert J. Rosenthal, professeur de philosophie américain.)Vous en êtes ? Vous voulez cultiver la terre au milieu des montagnes canadiennes au Yarrow EcoVillage, où chaque décision se prend à l’unanimité. Vivre à Hundstrup, au Danemark, où l’on pratique la permaculture (on crée un écosystème qui fournit de la nourriture tout en laissant la nature faire son travail, avec le moins d’intervention humaine possible). Vous pouvez trouver l’écovillage de vos rêves, partout dans le monde sur le site www.ecovillage.org
Êtes-vous un colibri ?
Pierre Rabhi vient de lancer une organisation nommée Colibris pour encourager chacun à agir. Il raconte :« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : “Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces quelques gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ?” “Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part.” Conclusion de Pierre Rabhi : « Telle est notre responsabilité à l’égard du monde, car nous ne sommes pas totalement impuissants si nous le décidons. » www.colibris-lemouvement.orgLes écolieux de France
« Maxi communautaire », « aromathérapie », « décroissance + nutrition », « terrain à construire écologique » ou encore « végétarisme antispéciste » (contre l’exploitation animale)… À chaque écolieu sa particularité. Et pour trouver celui qui vous correspond, rendez-vous sur le site http://ecolieuxdefrance.free.fr Vous y trouverez une liste de villages, lieux de vacances ou de stages, tous branchés écologie.